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Plus que des œuvres littéraires brillantes, ce sont des portraits en creux de la société russe du XIXème siècle. Ces tableaux de mœurs nous renseignent avec talent et sagacité sur une société, des tempéraments, l'évolution d'un peuple, d'un Empire, et brosse le portrait au quotidien des hommes et des femmes, tous ces personnages qui vivent et qui peuplent ces chefs d'œuvres. La littérature en langue russe proprement dite naît au cours du XVIIème siècle, tout d'abord avec la poésie et le théâtre, mais très tôt naît une très riche tradition romanesque.

"Le Feu, Journal d'une escouade" est un récit par Henri Barbusse de sa vie au front durant la première Guerre mondiale, paru en novembre 1916. Il reçoit la même année le prix Goncourt. Ce livre que Barbusse, engagé volontaire en 1914, tira de son expérience personnelle du front, a été longuement mûri et pensé en première ligne pendant vingt-deux mois dans les tranchées de décembre 1914 à 1916. Barbusse tient un carnet de guerre où il note des expériences vécues, les expressions des poilus.

La guerre des Balkans vient d'éclater en Bulgarie. C'est pour cette raison que le journal "L'Epoque" a décidé d'y envoyer son meilleur reporter, Rouletabille. Ce dernier en profite pour revoir la femme dont il est éperdument amoureux, Ivana. La jeune Bulgare lui raconte comment ses parents et sa sœur sont morts par la main du terrible bandit Gaulow.

Le Tsar de toutes les Russies est menacé par des empoisonneurs et des assassins invisibles, qui semblent le cerner sans cesse et s'en prennent à son entourage. Pour déjouer cette étrange machination, il n'y a que le plus célèbre et le plus malin des reporters : Rouletabille !

François Ier (1494-1547), est sacré roi de France le 25 janvier 1515 dans la cathédrale de Reims. Il règne jusqu'à sa mort en 1547. Fils de Charles d'Angoulême et de Louise de Savoie, il appartient à la branche de Valois-Angoulême de la dynastie capétienne. François Ier est considéré comme le monarque emblématique de la période de la Renaissance française.

Fin juillet 1914, Paul et Élisabeth Delroze, tout jeunes mariés, arrivent au château d'Ornequin situé au-dessus de la petite cité lorraine de Corvigny, à quelques kilomètres de la frontière allemande. Ce château, propriété du comte d'Andeville, le père d'Élisabeth, est fermé depuis la mort de sa femme, la comtesse Hermine. En visitant le château Paul va faire une découverte atroce, qui va bouleverser sa vie.

Un mutilé de guerre, le capitaine Patrice Belval déjoue une tentative d'enlèvement sur une infirmière connue sous le sobriquet de Maman Coralie. Amoureux de la jeune femme, il découvre bientôt que celle-ci est mariée, à l'occasion de l'assassinat sauvage de son mari. Ce crime est lié à une conjuration pour vider la France de ses réserves d'or (la 1ère Guerre Mondiale bat son plein) et également à un mystère liant les deux jeunes gens.

Victor Hautin, "Inspecteur Victor" de la Brigade mondaine, est un policier, habile, retors, hargneux. Apprécié de sa hiérarchie en dépit d'un esprit assez indépendant, il a vu sa promotion pour le poste d'inspecteur de la Sûreté compromise par des scandales portant sur sa vie privée, tumultueuse.

"Les Dents du Tigre" relate le combat poignant d'Arsène Lupin, en tant que Don Luis Perenna, contre un ennemi sournois et manipulateur qui n'agit que par procuration en captivant ses victimes afin de s'attribuer un héritage de 200 millions.

À Paris, en 1907, un enlèvement est commis à l'Opéra durant un défilé de haute couture : la belle chanteuse Régine Aubry est conduite par deux individus dans une maison non-identifiée où on la dépouille de son corselet de diamants. Puis elle est relâchée, sans sa parure évidemment au grand dam du diamantaire véreux Van Houben qui avait conçu la robe.

L'inspecteur principal Gorgeret est sur la piste de Clara la Blonde, fichée comme la maîtresse du grand Paul. En la suivant, la Police espère...

Raoul d'Avenac, alias Arsène Lupin, rentre tard un soir du théâtre, dans une de ses garçonnières. À sa surprise, l'appartement est tout éclairé et une jolie jeune femme blonde est là, appuyée sur un guéridon et qui semble l'attendre. Raoul pense à une bonne fortune mais la "gracieuse vision" ne veut pas qu'il la touche. En réalité, elle est épouvantée et c'est pour chercher refuge qu'elle s'est introduite chez lui.

Alors que Rouletabille et son épouse, la ravissante Ivana, se trouvent en villégiature à Deauville, la jeune femme est assassinée en même temps que son patron, le célèbre professeur Boulenger. L'attitude ambiguë des deux victimes, qui flirtaient ouvertement, amène rapidement la police à considérer Rouletabille comme le suspect numéro 1. Comment ce dernier parviendra-t-il à prouver son innocence ? Et surtout, en trouvera-t-il la force, alors qu'il souffre terriblement ? Sa femme a été tuée et l'avait peut-être trahi.

La baronne Repstein s'est enfuie avec les millions de son mari. L'inspecteur Ganimard s'est aussitôt lancé à sa poursuite. Mais Arsène Lupin ne croit pas à cette version officielle et décide de s'intéresser de plus prêt à l'étrange baron Repstein.

Il faut tout le brio du gentleman cambrioleur pour organiser le vol de 12 tapisseries de grandes valeurs, représentant Edith, l'épouse du dernier roi des Saxons, surtout lorsque ces trésors sont protégés dans un château imprenable.

"La Provence", superbe bateau de croisière, traverse paisiblement l'Atlantique pour rallier Paris à New-York. Soudain, un télégramme incomplet parvient à l'équipage : "Arsène Lupin à votre bord, première classe,...".

Débordé de "travail", toujours entre deux cambriolages, Arsène Lupin compte sur l'inspecteur Ganimard pour résoudre une bien étrange énigme : la belle Jenny Saphir a été étranglée par un élégant gentleman. Le seul véritable indice : une écharpe de soie rouge retrouvée peu après.

À la Révolution, Louis-Agrippa d'Ernemont a caché sa fortune juste avant d'être guillotiné. Depuis lors, ce trésor introuvable suscite les plus vives convoitises. Arsène Lupin relève le défi.

Dans cette aventure, Lupin affronte avec humour et brio le brillant détective Herlock Sholmès, un double bien réel et tout aussi brillant du célèbre détective anglais Sherlock Holmes.

Louis XI, dit le Prudent, né en 1423 à Bourges, mort en 1483 au château du Plessis-lez-Tours, fut roi de France de 1461 à 1483. Son intense activité diplomatique, perçue par ses adversaires comme sournoise, lui valut de la part de ses détracteurs le surnom d'"universelle aragne".