Aujourd'hui je vous parle de mon rapport (pas si sain) à la perfection, du syndrome de la bonne élève et de leurs impacts dans mon quotidien.

Pour moi, cette recherche de perfection est une compagne de route depuis petite et j'ai souvent l'impression d'être prisonnière d'une quête sans fin. Constamment désireuse de faire plus, faire mieux. Mais, spoiler alert : être parfaite partout, tout le temps, bah ça épuise et ma santé mentale en prend (souvent) un coup.

Bref, je vous explique comment ce syndrome de la bonne élève s'est manifesté dans ma vie, vous partage mon passé de « chouineuse scolaire » (miskine), vous raconte comment chaque erreur, même insignifiante, me donne envie de sauter par la fenêtre et vous partage mes moments de prise de conscience où je réalise que la perfection n'est pas forcément nécessaire.

Parce qu'au final, comme le dit si bien Leonard Cohen : « Il y a une fissure en toute chose. C'est ainsi qu'entre la lumière »

Sur ce, je retourne relire 70 fois mon prochain mail pour vérifier que je n'ai pas fait de fautes et vous dis à la semaine prochaine. D'ici là, on se retrouve sur les comptes @amisprochespodcast et @victorinepierru sur Instagram !

Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Aujourd'hui je vous parle de mon rapport à l’apparence, de quelle place j’accorde à la mienne mais aussi de la place qu’on lui alloue au global au quotidien.

De mon côté, j’ai souvent l’impression d’être la version Steve Jobs (du pauvre) au féminin en m’habillant quotidiennement de la même manière. Mon uniforme à moi ? T-shirt uni, pantalon large noir et mes fidèles New Balance 327. Ici, le confort PRIME.

Bref, je vous explique pourquoi je n’accorde pas vraiment d’importance à mon apparence (ni à celle des autres d’ailleurs), vous partage mes déboires vestimentaires du collège, vous livre comment j’accueille les messages de drague (qui dit ça en 2024 purée) faisant référence à mon physique et vous fais le récit de mes participations (lointaines) aux championnats de France de GRS.

Et pour finir, comme l'a si bien dit Coco Chanel « Quand je trouverai une couleur plus foncée que le noir, je la porterai. Mais jusque-là, je porte du noir. »

Sur ce, je retourne dévaliser Uniqlo et vous dis à la semaine prochaine. D'ici là on se retrouve sur les comptes @amisprochespodcast et @victorinepierru sur Instagram !

Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Aujourd’hui je vous parle du concept de batterie sociale et plus particulièrement des cas où celle-ci est faible. Vous savez ce moment où vous avez impression d'être complétement à plat ? Eh bien moi, c'est un peu mon quotidien lol.

Car oui, je me sens souvent, malgré moi, vidée voire lessivée après des interactions sociales. Parfois, j’arrive à gérer. Mais souvent, je rentre chez moi et j’ai besoin de plusieurs heures (jours ?) dans ma bulle pour me recharger.

Bref, je vous livre comment l'introvertie que je suis s'organise pour vivre (presque) normalement en société et dans le monde du travail, vous décris comment je gère de manière militaire mon agenda de sorties, vous explique mes techniques de répit quotidiennes pour recharger mes batteries et vous fais le récit au passage de ma pratique méditative de la vaisselle.

Cet épisode est pour mes amis proches qui aiment beaucoup leurs proches, mais qui chérissent tout autant (voire plus) leur solitude.

Sur ce, je vais faire la vaisselle de tout le quartier et vous dis à la semaine prochaine. D'ici là on se retrouve sur les comptes @amisprochespodcast et @victorinepierru sur Instagram !

Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.