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  • AFFAIRE TROGNEUX : 23 FRANÇAIS ATTAQUENT BRIGITTE MACRON EN JUSTICE ! | GPTV
    Jul 30 2025

    Le 29 juillet 2025, Christian Cotten et son avocat Maître Philippe Fortabat-Labatut étaient les invités de La Grande Émission, animée par Mike Borowski, en direct sur Géopolitique Profonde.

    Christian Cotten est un psychosociologue français, fondateur d’une entreprise de formation et du parti « Politique de Vie ». Connu pour ses prises de position atypiques, il avait notamment accusé George W. Bush de crimes contre l’humanité. En décembre 2024, il déposa une plainte contre Brigitte Macron pour usurpation d’identité.

    Philippe Fortabat‑Labatut est avocat depuis 1993 au Barreau de Paris, docteur en droit, également reconnu en Espagne. Son parcours atypique, mêlant formation militaire, douanière et universitaire, ainsi que son implication dans des dossiers internationaux médiatisés, en font une figure du droit pénal, des affaires et du conseil international.

    Première plainte contre Brigitte Macron pour usurpation d’identité

    La plainte américaine déposée par Emmanuel et Brigitte Macron contre Candace Owens, portée par les avocats Tom Clare et Éric Dupond‑Moretti, entraîna une riposte nationale. Vingt-trois citoyens français, menés par Christian Cotten, déposèrent une plainte explosive au tribunal judiciaire de Paris.

    Brigitte Macron y est accusée d’usurpation d’identité, faux en écriture publique, détention frauduleuse de documents, agression sexuelle sur mineur, escroquerie au jugement, usurpation de fonctions et atteinte aux intérêts fondamentaux de la nation.

    Les plaignants ne s’appuient pas sur des soupçons vagues, mais sur la conviction d’un mensonge d’État organisé. Essentiellement des femmes, les parties civiles dénoncent une imposture présidentielle. Au cœur de l’accusation : la dissimulation de l’identité réelle de Brigitte Macron, qu’ils associent à Jean-Michel Trogneux. Le refus de test ADN par la Première Dame renforce leur certitude.

    Une mobilisation patriotique en cours

    Entouré de son avocat, Christian Cotten lance un appel national. Ce n’est pas un acte isolé, mais un mouvement collectif patriotique. L’objectif : multiplier les parties civiles pour faire de cette plainte un acte de résistance populaire contre l’omerta d’État. Chaque citoyen est invité à se joindre à cette bataille pour la vérité.

    L’affaire dépasse les sphères militantes et devient un test de souveraineté judiciaire. Plus la mobilisation s’intensifie, plus la pression monte sur les institutions. Il ne s’agit plus seulement de dénoncer une fraude, mais de restaurer la confiance en confrontant l’État à ses propres falsifications.

    La justice française face à un dilemme politique

    Cette plainte place la justice dans une position critique. Deux voies sont possibles : instruire des faits graves ou rejeter la plainte, au risque d’alimenter l’idée d’impunité étatique. Dans les deux cas, la légitimité du système est ébranlée.

    Chaque jour sans réponse judiciaire nourrit le soupçon d’une complicité d’État. Refuser d’instruire reviendrait à cautionner une falsification. Accepter, c’est ouvrir la porte à un choc systémique. Cette affaire agit comme un révélateur : jusqu’où les institutions françaises sont-elles prêtes à aller pour préserver leur apparence au détriment de la vérité ?

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    1 h y 7 m
  • ÉVITER LA PRISON AUX DÉLINQUANTS FINANCIERS ? L’IDÉE DE “GÉNIE” DE DARMANIN ! | GPTV
    Jul 30 2025

    Le 29 juillet 2025, Mike Borowski vous proposait un sujet d’actualité, en direct sur Géopolitique Profonde.

    La justice selon Darmanin : l’amnistie pour les puissants

    Gérald Darmanin veut supprimer la prison pour les délits financiers. Sous couvert de « désengorgement des prisons », sa réforme protège les élites : fraudeurs fiscaux, détourneurs de fonds, corrompus et trafiquants d’influence échapperaient aux peines de prison, remplacées par bracelets, stages ou amendes. Cette dépénalisation marque une rupture politique majeure.

    Les peines prévues, parfois jusqu’à 10 ans, seraient balayées. La dissuasion disparaît, l’exemplarité est sacrifiée. L’arbitraire remplace la justice. Cette réforme incarne une impunité assumée pour ceux qui manipulent l’État à leur avantage, validant une justice à deux vitesses.

    Magistrature contre la réforme justice Darmanin : alerte sur l’amnistie fiscale

    Le projet a suscité une levée de boucliers. L’Union syndicale des magistrats dénonce une attaque contre l’État de droit. Le message est clair : détourner des millions n’est plus un crime, mais une « erreur ». Trente ans de scandales politico-financiers n’ont pas suffi à alerter les institutions. On légalise la clémence pour les puissants.

    Plus de 130 magistrats spécialisés alertent sur l’urgence de renforcer les moyens contre la corruption systémique. Mais leur appel reste ignoré. Plutôt que d’outiller la justice contre les flux financiers opaques, on en réduit les capacités répressives. Cette fragilisation est volontaire : il s’agit de neutraliser les implications sociales des crimes économiques.

    Vers une spoliation programmée

    La réforme creuse l’écart entre justice et équité. Les délits mineurs restent durement punis, tandis que les crimes économiques sont relativisés. Cette injustice n’est pas un accident, mais le symptôme d’un système capté par une caste. La fraude fiscale, estimée à 120 milliards d’euros annuels, dépasse les déficits publics. Pourtant, elle se poursuit dans l’indifférence, couverte par un discours de gestion.

    La macronie parachève la privatisation du droit pénal. La prison reste pour les exclus, jamais pour ceux qui organisent la faillite. Tandis que les Français subissent inflation, dette et effondrement des services publics, les élites renforcent leur impunité. La République ne cède pas à la pression populaire, mais s’effondre sous les privilèges accordés aux spoliateurs. L’oligarchie, désormais à visage découvert, écrit les lois pour elle-même.

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    29 m
  • VON DER LEYEN SIGNE LA MORT ÉCONOMIQUE DES NATIONS EUROPÉENNES ! | LA MATINALE GPTV
    Jul 30 2025

    Le 29 juillet 2025, Marc-Gabriel Draghi, François Martin et David Van Hemelryck étaient les invités de La Matinale, animée par Nicolas Stoquer en direct sur Géopolitique Profonde.

    Marc-Gabriel Draghi est juriste, spécialiste de l’histoire du droit. Auteur de Le règne des marchands du temple, Le grand reset en marche ! et La Grande Narration, il critique le Forum économique mondial qu’il voit comme une élite visant à soumettre l’humanité.

    François Martin est géopolitologue, journaliste et essayiste. Diplômé de l’ESSEC, de l’EMBA HEC, auditeur de l’IHEDN et de l’INHESJ, il a travaillé 40 ans dans le commerce international alimentaire, sur plus de 100 pays, parlant six langues.

    David Van Hemelryck est militant politique. Diplômé de Polytechnique et pilote de ligne, il s’est fait connaître avec la campagne « Hollande Démission » en 2013. Depuis, il milite activement contre les présidents jugés illégitimes. Son combat s’est intensifié sous Emmanuel Macron. Il est l’auteur de Les Ailes de la Libération.

    Trump déballe la menace finale

    Donald Trump écourte son ultimatum à la Russie : dix à douze jours pour une reddition. Une démonstration de force masquant une faiblesse militaire : arsenaux vides, logistique saturée, guerre industrielle absente. Reste la coercition économique : sanctions massives, menaces globales.

    Mais Trump vise aussi le Sud global. Chine, Inde, Brésil, Afrique du Sud, Turquie : cet axe économique, renforcé depuis 2022, résiste aux intimidations américaines. L’hubris impérial de Trump se heurte à une réalité multipolaire inévitable.

    L’Europe vassale jusqu’au sacrifice

    Bruxelles se saborde pour préserver l’alliance transatlantique. Les sanctions ruinent l’industrie, l’énergie et les chaînes de valeur. L’UE applique sans débat les décisions américaines, même contre ses propres intérêts.

    La Russie, loin de plier, se tourne vers l’Eurasie. Le dollar recule. L’Europe, isolée des marchés émergents, compromet son avenir énergétique et perd toute autonomie diplomatique. L’empire américain, affaibli, consume ses alliés.

    La France au bord de la rupture

    La France est en crise totale. À l’effondrement économique s’ajoute le chaos politique : dette à 115 % du PIB, déficit hors de contrôle, gouvernement renversé. François Bayrou tente de sauver un exécutif rejeté.

    Les Français rejettent une élite perçue comme illégitime. L’appauvrissement s’accélère, les services publics s’écroulent. Macron, isolé, incarne la soumission à Bruxelles et Washington. Sans autorité, il mène une République au bord du gouffre.

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    2 h y 51 m
  • LA FRANCE VA-T-ELLE TOTALEMENT IMPLOSER À LA RENTRÉE | SYMVAIN BARON | GPTV
    Jul 29 2025

    Le 28 juillet 2025, Sylvain Baron était l’invité de La Grande Émission de Géopolitique Profonde, animée par Mike Borowski.

    Sylvain Baron est un journaliste et militant politique engagé, connu pour son combat en faveur de la souveraineté nationale. Dans son dernier livre, Révolte !, il appelle à une insurrection populaire pacifique et planifiée, dénonçant la trahison des élites et proposant une stratégie concrète pour restaurer la démocratie en France.

    Le mythe de l’insurrection française

    L’idée d’une révolution en France revient à chaque crise. Les mots « insurrection » et « colère populaire » résonnent, mais rien ne change. Le système absorbe, s’adapte, neutralise. Les tensions montent, les mobilisations explosent, puis s’éteignent. Aucune stratégie ne s’impose, aucun élan ne dure. Le mythe demeure, la réalité reste figée par l’apathie collective et la puissance étatique.

    L’initiative du 10 septembre prétend raviver cette flamme : blocage national, grève générale, boycott. Le projet circule, la viralité est réelle, mais l’impact reste flou. Faute de leader, de logistique ou de vision, l’élan ressemble à une illusion d’action. Les appels se multiplient en ligne, mais le terrain reste vide. Le pouvoir, habitué à ces sursauts sans suite, reste serein.

    Révolte spontanée ou contrôle invisible

    La France a connu des soulèvements imprévus. Les Gilets jaunes en furent un exemple : une étincelle suffit. Mais ces révoltes sont souvent désorganisées, sans structures ni objectifs clairs. Le pouvoir laisse alors la colère s’exprimer… pour mieux la canaliser, la diviser, la réprimer. Le résultat : une menace neutralisée avant d’avoir existé pleinement.

    À l’inverse, certains rêvent d’une insurrection planifiée, structurée. Mais une telle entreprise nécessite une organisation, une convergence sociale, économique, voire militaire. Rien de tout cela n’existe aujourd’hui. Les contestations sont dispersées, les opposants désorganisés, les forces fragmentées. Le contrôle ne s’exerce même plus brutalement : il agit par anticipation, par technologie, par peur du chaos.

    Soumission nationale ou anesthésie volontaire

    Les Français protestent, mais obéissent. Ils dénoncent, puis s’adaptent. Ils rêvent de rupture, mais rentrent dans le rang. Le véritable blocage réside là : une capacité d’endurance face à l’oppression, sans jamais franchir la ligne rouge. L’isolement, la peur, le matraquage médiatique ont façonné une société résignée. Les opposants sont marginalisés ou récupérés.

    Le pouvoir gouverne non par la force, mais par l’usure. Il divise, égare, fatigue. Les initiatives alternatives sont étouffées avant de naître. Le récit dominant écrase toute tentative de changement. Ce n’est pas l’absence de colère qui empêche la révolution, mais le manque de volonté collective structurée. Tant qu’aucune action coordonnée ne voit le jour, le système triomphera. Non par autorité, mais par résignation.

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    51 m
  • EXPLOSIF : JACK LANG DIRECTEMENT LIÉ À L’AFFAIRE EPSTEIN ! | GPTV
    Jul 29 2025

    Le 28 juillet 2025, Mike Borowski révélait comment Epstein, Jack Lang et une association fantôme française se retrouvent au cœur d’un financement aussi discret que troublant.

    Une donation obscure au cœur du réseau Epstein

    En 2018, Jeffrey Epstein verse près de 58 000 dollars à une association française fraîchement créée. C’est la seule transaction internationale connue de sa fondation Gratitude America. Derrière cette structure inconnue, censée promouvoir la culture française des années 80-90, se trouvent trois proches de Jack Lang, ancien ministre de la Culture. Aucun événement, programme ou film n’atteste de son activité. Lang évoque un projet cinématographique non concrétisé. Les responsables, dont Sylvie Aubry, minimisent ou nient leur implication. L’absence totale de trace publique confirme que cette entité a servi de relais discret dans l’ingénierie du réseau Epstein, sans activité réelle mais avec un rôle précis.

    Jack Lang et Epstein, des liens plus qu’amicaux

    Jack Lang admet avoir rencontré Epstein à plusieurs reprises : à un dîner pour Woody Allen et en 2019, lors des 30 ans de la pyramide du Louvre. Il le décrit alors comme « charmant », malgré la réputation sulfureuse d’Epstein déjà bien connue. Ces propos révèlent une proximité troublante. Epstein ne côtoyait pas au hasard : ses cercles étaient ciblés. Lang, figure centrale de l’intelligentsia culturelle française, illustre l’entrelacement entre pouvoir politique, réseaux culturels et influence financière. Il ne fut peut-être pas un acteur actif, mais un point d’entrée symbolique vers un monde institutionnel fréquenté par des personnalités comme Woody Allen, Roman Polanski ou DSK.

    Une stratégie d’infiltration par la culture

    Le don ne visait pas un objectif culturel mais une opération de légitimation. Epstein utilisait la philanthropie pour gagner en respectabilité et pénétrer les élites européennes. En France, offrir de l’argent à une structure liée à un ancien ministre servait à ouvrir des portes, à bâtir une image respectable sans passer par les circuits politiques classiques. La culture devenait le canal privilégié pour tisser des liens avec les décideurs. Lang incarnait cette interface. Il n’était peut-être pas complice, mais tenait un rôle clé dans cette stratégie d’influence.

    Ce mécanisme rappelle celui observé aux États-Unis : Harvard, le MIT et d’autres institutions ont accepté des fonds d’Epstein malgré les alertes. Il ne s’agissait pas de mécénat désintéressé, mais d’une méthode de construction de réseau et de silence. La France fut ciblée via ses élites culturelles. Le don de 2018, unique hors sol américain, confirme l’étendue des ramifications d’Epstein. Certaines figures françaises ont été, volontairement ou non, les relais d’une infiltration feutrée.

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    27 m
  • RUSSIA GATE : TRUMP SE VENGE ET BALANCE UN DOSSIER EXPLOSIF SUR LE CLAN OBAMA | LA MATINALE | GPTV
    Jul 29 2025

    Le 28 juillet 2025, Claude Janvier, Jacques Cheminade et Arnaud de Veullé étaient les invités de La Matinale de Géopolitique Profonde, animée par Nicolas Stoquer .

    Claude Janvier est un écrivain et essayiste français connu pour ses prises de position tranchées sur les dynamiques de pouvoir et les influences cachées au sein des structures étatiques. Il est l’auteur de « L’État Profond Français ».

    Jacques Cheminade est un homme politique et essayiste franco-argentin. Fondateur de Solidarité et progrès, il est connu pour ses positions souverainistes, son engagement contre la prédation financière et ses critiques de l’oligarchie. Il a été candidat à plusieurs présidentielles.

    Arnaud de Veullé est un avocat français, figure du barreau parisien. Il s’est illustré dans des affaires sensibles, souvent liées à la liberté d’expression ou à la souveraineté. Proche de certains milieux conservateurs, il intervient régulièrement dans les médias alternatifs.

    L’Empire américain fracturé par sa guerre interne

    Le Russiagate n’aurait jamais été une simple affaire d’ingérence. C’est une opération montée pour masquer une autre réalité : dès 2014, les Démocrates, liés au complexe néoconservateur, ont multiplié les manœuvres opaques en Ukraine. Derrière les « collusions russes », il s’agissait de bloquer Trump et d’éviter qu’il ne révèle des éléments compromettants pour Obama, Biden et l’appareil sécuritaire démocrate.

    Tulsi Gabbard affirme que le Russiagate fut une diversion pour détourner l’attention des opérations clandestines menées en Ukraine. Le but : empêcher Trump d’accéder à certains dossiers. Ce qui émerge aujourd’hui révèle un scandale mêlant réseaux mafieux, espionnage et corruption. L’État profond néoconservateur aurait utilisé tous les leviers – judiciaires, médiatiques, technologiques – pour neutraliser Trump et ses alliés.

    Zelensky, homme de paille du clan Obama-Biden

    En Ukraine, Zelensky ne gouvernerait plus, il exécuterait. Dernière manœuvre : l’assaut contre les agences anti-corruption NABU et SAPO, officiellement pour la sécurité nationale, mais en réalité pour protéger ses soutiens américains. Ces institutions risquaient de révéler des liens compromettants entre oligarques ukrainiens et figures démocrates américaines.

    Face aux réactions populaires et diplomatiques, Zelensky recule, mais le mal est fait. En se pliant aux intérêts d’un État profond occidental paniqué, il perd le soutien du camp républicain. Désormais attaqué par les médias pro-Trump, il est accusé de collusion avec les Clinton et les Biden. L’Ukraine devient le théâtre d’une révolution inversée, où le pouvoir tente de bâillonner la population au nom de la transparence.

    Gaza étranglée, la diversion géopolitique ultime

    Alors que les États-Unis vacillent, le chaos proche-oriental est instrumentalisé. À Gaza, la famine est une réalité, les hôpitaux n’ont plus d’électricité, les enfants sont opérés sans anesthésie, les aides humanitaires bloquées. L’ONU alerte, mais rien ne change.

    Ce drame humanitaire est utilisé par les néoconservateurs comme diversion médiatique. Il s’agit de saturer l’espace avec l’horreur pour détourner l’attention d’Ukraine et Washington. Même logique avec la relance de l’affaire Epstein : un écran de fumée calibré pour étouffer les vérités les plus dérangeantes.

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    2 h y 47 m
  • DÉCOUVREZ LE CLUB DE ROME : LE THINK TANK SURPUISSANT QUI DÉTESTE L’HUMANITÉ | GPTV
    Jul 28 2025

    Le 27 juillet 2025, Thibault Kerlirzin était l’invité de La Grande Émission, animée par Raphaël Besliu, sur Géopolitique Profonde.

    Thibault Kerlirzin est consultant en stratégie d’intelligence économique, diplômé de l’Ecole de Guerre Economique et de l’EHESS. Il s’est spécialisé dans l’analyse du rôle ambigu joué par certaines ONG dans la guerre économique. Il a publié plusieurs ouvrages sur les lobbies écologistes, George Soros, Davos et Maurice Strong.

    Le Club de Rome : une matrice idéologique sous étiquette scientifique

    Créé en 1968, le Club de Rome rassembla des décideurs et intellectuels souhaitant penser les « limites » de la croissance. Officiellement, il voulait anticiper les crises globales et proposer des solutions systémiques. Mais certains y voient un laboratoire idéologique visant à réorganiser la société mondiale sous couvert de rationalité scientifique. Pour ses détracteurs, il incarne une pensée néomalthusienne : réduction démographique et restriction des libertés seraient perçues comme nécessaires pour préserver les équilibres planétaires. Une citation de leur rapport The First Global Revolution – « le véritable ennemi […] c’est l’humanité elle-même » – alimente cette lecture. Où s’arrête l’analyse, où commence l’agenda idéologique ?

    Le rapport Meadows, fondement d’une gouvernance mondiale ?

    Le rapport Meadows de 1972, commandité par le Club de Rome, a marqué les décideurs. En modélisant un possible effondrement dû à la croissance exponentielle, il a alimenté l’idée d’une gestion centralisée des ressources à l’échelle globale. Il a influencé politiques publiques et traités environnementaux, renforçant le rôle des institutions supranationales. Mais ce rapport n’était pas contraignant. Le présenter comme origine unique de la gouvernance actuelle revient à ignorer d'autres facteurs économiques, géostratégiques et idéologiques ayant aussi façonné l’ordre mondial.

    Cinq recommandations, ou cinq outils de transformation globale ?

    Le Systems Transformation Hub, soutenu par le Club de Rome, a récemment émis cinq recommandations à la Commission européenne. Officiellement conçues comme des réponses aux crises systémiques, elles pourraient aussi être vues comme des instruments d’ingénierie sociale.

    La première propose de remplacer le PIB par des indicateurs de bien-être. La deuxième prône une industrie reposant sur des “valeurs partagées”. La troisième vise une organisation continentale de l’usage des sols. La quatrième appelle à une réforme de l’éducation pour former des leaders du changement. La cinquième recommande de transformer la gouvernance de l’UE pour la rendre plus “transversale”. Présentées comme pragmatiques, ces propositions peuvent aussi être interprétées comme les signes d’une gouvernance technocratique éloignée des volontés populaires.

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    1 h y 30 m
  • LA COLÈRE DES FRANÇAIS MONTE : « MACRON EST UN CON ! IL NOUS EMMERDE ! » | GPTV INVESTIGATION
    Jul 28 2025

    Le 27 juillet 2025, un nouveau micro-trottoir de Mickaël dévoilait un constat accablant : la France n’était plus gouvernée par son peuple, mais par une caste.

    Une défiance devenue majoritaire

    La démocratie française ne vacille plus, elle s’effondre. 71 % des citoyens estiment qu’elle fonctionne mal. Pour beaucoup, elle n’a jamais existé. Ce n’est pas un désintérêt, mais une rupture. Les témoignages sont tranchés : « La démocratie, ça n’existe pas », « on ne nous écoute pas », « on est abandonnés ». Le vote semble inutile, les politiques défendent les mêmes intérêts.

    Cette conviction traverse toutes les couches sociales. Jeunes, précaires, retraités décrivent une confiscation du pouvoir. Le peuple ne gouverne plus. Il subit. La défiance devient certitude, alimentée par un mépris ressenti envers une élite déconnectée.

    Une illusion entretenue

    Le système se présente comme démocratique, mais repose sur des mécanismes biaisés. Une minorité décide, une majorité subit. Le théâtre électoral masque un pouvoir verrouillé. Assemblée, partis, médias diffusent les mêmes discours. La « parodie de démocratie » ne trompe plus personne.

    Ce déni de réalité alimente une frustration profonde. Pourquoi voter ou débattre, si tout est déjà joué ? Beaucoup se détournent du politique. Ils vivent repliés, sans espoir. Ce n’est pas de l’indifférence, mais un rejet. Le désintérêt devient refus d’adhérer à une mascarade. Ce rejet s’accompagne d’un ras-le-bol social intense.

    La colère du quotidien

    Au-delà de la critique politique, la réalité matérielle est brutale. « Je vais aux Restos du cœur », « avec 1 300 €, tu fais rien » : ces cris d’alarme traduisent l’urgence. Le pouvoir d’achat s’effondre, les prix explosent. L’État reste absent ou privilégie d’autres. La comparaison avec les aides aux Ukrainiens alimente le sentiment d’injustice.

    La fracture est sociale et identitaire. Une partie des Français se sent reléguée, méprisée. Le fossé générationnel et économique se creuse : d’un côté, les protégés ; de l’autre, les oubliés.

    Le pouvoir sous contrôle

    Le mal est identifié : la classe politique. Une caste hors-sol, qui se protège et se reproduit. « Des manches à balais en cravate » gouvernent le pays. Macron concentre la colère : « il nous emmerde toute la journée ». Mais le rejet vise tout le système. Les partis changent, rien ne bouge. Le peuple reste exclu d’un théâtre verrouillé.

    Les médias jouent un rôle central. Leur alignement, leur fonction d’écran, sont dénoncés. L’opinion est fabriquée, les colères sont disqualifiées. La manipulation ne fait plus de doute. Cette lucidité rend la situation explosive.

    Un système à réinventer

    Changer de système ne fait plus débat. La réforme interne n’est plus crédible. Certains parlent de rupture, d’autres réclament une refonte. Le modèle représentatif semble dépassé.

    Les idées de référendums, d’assemblées citoyennes, reviennent. Mais sans un pouvoir réellement partagé, elles restent vaines. Ce que réclame la rue, c’est une démocratie réelle, protectrice, à l’écoute. Pas une machine froide. Il faut autre chose. Et vite.

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