
LA COLÈRE DES FRANÇAIS MONTE : « MACRON EST UN CON ! IL NOUS EMMERDE ! » | GPTV INVESTIGATION
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Le 27 juillet 2025, un nouveau micro-trottoir de Mickaël dévoilait un constat accablant : la France n’était plus gouvernée par son peuple, mais par une caste.
Une défiance devenue majoritaire
La démocratie française ne vacille plus, elle s’effondre. 71 % des citoyens estiment qu’elle fonctionne mal. Pour beaucoup, elle n’a jamais existé. Ce n’est pas un désintérêt, mais une rupture. Les témoignages sont tranchés : « La démocratie, ça n’existe pas », « on ne nous écoute pas », « on est abandonnés ». Le vote semble inutile, les politiques défendent les mêmes intérêts.
Cette conviction traverse toutes les couches sociales. Jeunes, précaires, retraités décrivent une confiscation du pouvoir. Le peuple ne gouverne plus. Il subit. La défiance devient certitude, alimentée par un mépris ressenti envers une élite déconnectée.
Une illusion entretenue
Le système se présente comme démocratique, mais repose sur des mécanismes biaisés. Une minorité décide, une majorité subit. Le théâtre électoral masque un pouvoir verrouillé. Assemblée, partis, médias diffusent les mêmes discours. La « parodie de démocratie » ne trompe plus personne.
Ce déni de réalité alimente une frustration profonde. Pourquoi voter ou débattre, si tout est déjà joué ? Beaucoup se détournent du politique. Ils vivent repliés, sans espoir. Ce n’est pas de l’indifférence, mais un rejet. Le désintérêt devient refus d’adhérer à une mascarade. Ce rejet s’accompagne d’un ras-le-bol social intense.
La colère du quotidien
Au-delà de la critique politique, la réalité matérielle est brutale. « Je vais aux Restos du cœur », « avec 1 300 €, tu fais rien » : ces cris d’alarme traduisent l’urgence. Le pouvoir d’achat s’effondre, les prix explosent. L’État reste absent ou privilégie d’autres. La comparaison avec les aides aux Ukrainiens alimente le sentiment d’injustice.
La fracture est sociale et identitaire. Une partie des Français se sent reléguée, méprisée. Le fossé générationnel et économique se creuse : d’un côté, les protégés ; de l’autre, les oubliés.
Le pouvoir sous contrôle
Le mal est identifié : la classe politique. Une caste hors-sol, qui se protège et se reproduit. « Des manches à balais en cravate » gouvernent le pays. Macron concentre la colère : « il nous emmerde toute la journée ». Mais le rejet vise tout le système. Les partis changent, rien ne bouge. Le peuple reste exclu d’un théâtre verrouillé.
Les médias jouent un rôle central. Leur alignement, leur fonction d’écran, sont dénoncés. L’opinion est fabriquée, les colères sont disqualifiées. La manipulation ne fait plus de doute. Cette lucidité rend la situation explosive.
Un système à réinventer
Changer de système ne fait plus débat. La réforme interne n’est plus crédible. Certains parlent de rupture, d’autres réclament une refonte. Le modèle représentatif semble dépassé.
Les idées de référendums, d’assemblées citoyennes, reviennent. Mais sans un pouvoir réellement partagé, elles restent vaines. Ce que réclame la rue, c’est une démocratie réelle, protectrice, à l’écoute. Pas une machine froide. Il faut autre chose. Et vite.
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