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En 1877, l'Opéra de Paris est secoué par des phénomènes inquiétants... Lors des répétitions ou des spectacles, les accidents se multiplient. On murmure qu'il s'agit d'un fantôme qui menace les directeurs de l'Opéra des pires catastrophes s'ils ne lui obéissent pas. Cet être énigmatique qui erre dans le théâtre, prend sous son aile la jeune cantatrice Christine Danaé avec qui il noue une relation étrange. Il finit par l'enlever, peut-être dans un accès de folie.

Dans cette œuvre autobiographique, Chateaubriand raconte les différentes phases de sa vie : sa jeunesse en tant que soldat, émaillée d'un voyage aux Etats-Unis, sa passion littéraire, et enfin son engagement politique. Ayant vécu jusqu'à l'âge de 80 ans, il nous fait traverser l'Histoire, et vivre page après page l'évolution des Etats-Unis, la Révolution Française, puis le Consulat. Chateaubriand dresse également les portraits de Napoléon, Thiers et Talleyrand, entre autres.

Pascal reste unique, non pas tant qu'il est, selon Paul Valéry, une des plus fortes intelligences qui aient paru, mais par sa fougue, par son élan, par cette agressivité qui empoigne l'âme de l'auditeur.

Elle fut avant tout une star européenne de beauté et de vertu. Sa célébrité rehaussa l'importance de son salon au point que le nom de Récamier est devenu un symbole dans tous les salons. Chateaubriand fut son seul véritable amour.

Avec "Le rideau cramoisi", l'une des plus célèbres nouvelles du recueil "Les diaboliques", l'auteur fait preuve de la maîtrise dans l'art du conteur du mystère et de l'étrange. Osez soulever le rideau et pénétrez dans une nouvelle où vous découvrirez une morte amoureuse.

Les couleurs, la lumière du soleil, la flore, le vent, autant d'images, de sensations que l'auteur a pu vivre et voir lors de ses promenades dans les paysages du massif de la Sainte-Victoire.

"C'est ici un livre de bonne foi, lecteur. Il t'avertit dès l'entrée que je ne me suis proposé aucune fin, que domestique et privée. Je n'y ai eu aucune considération de ton service ni de ma gloire." Montaigne