Episodios

  • Silence on joue ! - S19E17 - «Skate Story», «Routine», «Rhythm Doctor»
    Dec 12 2025

    Cette semaine, on commence par explorer une base lunaire dans Routine. L'ambiance pesante et le design sonore très réussi sont les gros atouts de ce titre qui laisse souvent le joueur seul face à ses interrogations. On continue avec l'univers complètement barré de Skate Story, où l'on incarne un démon fait «de verre et de douleurs» qui doit parcourir les enfers pour dévorer des lunes. Le tout en skate, bien sûr. Avec une bande originale de haute volée, le jeu signé Sam Eng nous emporte dans sa folie. On termine avec la version 1.0 du chef d'œuvre musical Rhythm Doctor qui nous emmène toujours plus loin dans la découverte de ce qu'est vraiment le rythme.


    Jérémie Kletzkine, dans sa chronique jeux de société, nous parle de Duel pour Cardia.


    Chapitres :

    0:00 Intro

    5:52 Les news

    21:21 Le com des coms

    26:17 Routine

    56:09 La chronique jeux de société : Duel pour Cardia

    1:01:28 Skate Story

    1:32:06 La minute culturelle

    1:36:57 Rhythm Doctor

    1:52:44 Et quand vous ne jouez pas, vous faites quoi ?


    Retrouvez toutes les chroniques de jérémie dans le podcast dédié Silence on Joue ! La chronique jeux de société (Lien RSS).

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    Silence on joue ! c’est l’émission hebdo de jeux vidéo de Libération. Avec Erwan Cario et ses chroniqueurs Patrick Hellio et Julie Le Baron.


    CRÉDITS

    Silence on joue ! est un podcast de Libération animé par Erwan Cario. Cet épisode a été enregistré le 11 décembre 2025 sur Discord. Réalisation : Erwan Cario. Générique : Marc Quatrociocchi.

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    2 h y 1 m
  • L'Actu Tech (en 3 minutes) - Comment fonctionne l'interdiction des réseaux aux -16 ans en Australie
    Dec 12 2025

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    5 m
  • Choses à Savoir TECH VERTE - En Inde, l’IA relance massivement le charbon ?
    Dec 11 2025

    En Inde, la spirale est bien connue : croissance économique, vagues de chaleur de plus en plus intenses, explosion de la demande d’électricité… et, en retour, hausse des émissions de gaz à effet de serre. Un cercle vicieux climatique qui semblait presque inévitable. Mais une enquête conjointe du média d’investigation SourceMaterial et du The Guardian vient pointer un acteur majeur dans cette nouvelle flambée de la consommation électrique : Amazon et ses centres de données.


    À Mumbai, deux centrales à charbon appartenant aux groupes Tata Group et Adani devaient fermer en 2023, dans le cadre des engagements climatiques du gouvernement. Mais la décision a été annulée. En cause : une explosion de la demande d’électricité, jugée incompatible avec l’abandon du charbon dans une mégapole de 18 millions d’habitants. Selon des documents internes consultés par SourceMaterial, Amazon exploite pas moins de 16 data centers dans l’agglomération. Un chiffre colossal, dans un pays qui affiche désormais de grandes ambitions dans l’intelligence artificielle. Le problème, c’est que ces infrastructures sont extrêmement énergivores. En 2023, les centres loués par Amazon à Mumbai auraient consommé plus de 624 000 mégawattheures, soit l’équivalent de la consommation annuelle de plus de 400 000 foyers indiens.


    Le Guardian souligne un paradoxe : ces data centers sont peu visibles, car Amazon les loue au lieu de les posséder directement. Mais leur impact, lui, est bien réel. Dans le quartier de Mahul, qualifié d’« enfer toxique » par un rapport de 2019, se concentrent trois raffineries, seize usines chimiques… et l’une des centrales à charbon les plus polluantes de la ville, responsable à elle seule d’un tiers de la pollution aux particules fines locales. Les métaux lourds rejetés provoquent maladies respiratoires, cutanées, rénales et cardiaques. Alors que le charbon ne suffit déjà plus, Amazon a équipé ses centres de données de 41 générateurs au diesel, et prévoit d’en installer encore davantage pour éviter les coupures. Une fuite en avant énergétique qui inquiète fortement les ONG. Pour Eliza Pan, porte-parole d’Amazon Employees for Climate Justice, « Amazon utilise l’attrait de l’IA pour masquer la construction d’un véritable empire énergétique polluant ». Ironie amère : tandis que l’intelligence artificielle est souvent présentée comme un outil de lutte contre le dérèglement climatique, elle contribue ici, très concrètement, à en accélérer les effets.

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    2 m
  • Choses à Savoir TECH - Google permet de créer des agents IA personnalisés ?
    Dec 11 2025

    L’intelligence artificielle est déjà partout dans notre quotidien professionnel. Depuis plus d’un an, Google a intégré son IA Gemini dans la suite Google Workspace : résumés automatiques dans Gmail, rédaction de documents dans Drive, prise de notes dans Meet… Mais avec l’arrivée de l’IA dite « agentique », le géant de la tech passe à l’étape suivante.


    Google vient d’annoncer le lancement de Google Workspace Studio, un nouvel outil destiné aux professionnels. Promesse affichée : permettre de créer, en quelques minutes, de véritables agents IA capables d’automatiser les tâches du quotidien, sans écrire une seule ligne de code. Il suffit d’expliquer, en langage naturel, ce que l’on souhaite faire. L’agent se charge du reste, grâce à la puissance de Gemini 3. Ces agents ne se contentent pas d’exécuter des consignes figées. Ils sont conçus pour analyser des situations, s’adapter à de nouvelles informations et déclencher des actions en fonction du contexte. Concrètement, ils peuvent surveiller vos mails, détecter des mots-clés, envoyer automatiquement des alertes, préparer des briefings, ou encore organiser des tâches à partir de contenus présents dans vos documents. Ils peuvent aussi aller chercher des informations sur le web pour ajuster leur comportement.


    Autre point clé : l’ouverture aux outils tiers. Google Workspace Studio peut se connecter à des applications professionnelles majeures comme Jira, Salesforce, Mailchimp ou Asana. Les agents peuvent ainsi automatiser des chaînes complètes de travail, de la gestion de projet au suivi client. Ils sont aussi partageables entre collaborateurs, avec des modèles prêts à l’emploi pour accélérer la prise en main. Google voit déjà plus loin. Des évolutions sont annoncées, notamment le partage externe, l’envoi d’e-mails hors du domaine principal, ainsi qu’une prise en charge avancée des webhooks, ces mécanismes qui permettent aux applications de dialoguer entre elles en temps réel. Le déploiement a commencé cette semaine. L’accès pour les utilisateurs finaux est prévu à partir du 5 janvier 2026, pour les domaines à activation progressive. L’outil reste réservé aux abonnements payants Business, Enterprise, Education et aux offres Google AI dédiées. Les mineurs, eux, n’y auront pas accès. Derrière cette annonce, un signal clair : Google ne veut plus seulement proposer de l’assistance par IA, mais confier aux entreprises de véritables agents numériques autonomes.

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    2 m
  • Silence on joue ! - Quel est le jeu le plus relaxant pour vous ? - Bande-annonce S19E17
    Dec 11 2025

    On laisse enfoncé le bouton «Record» après l'enregistrement, on en fait une bande-annonce...


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    Silence on joue ! C’est l’émission hebdo de jeux vidéo de Libération. Avec Erwan Cario et ses chroniqueur·euse·s Patrick Hellio et Julie Le Baron.


    CRÉDITS

    Silence on joue ! est un podcast de Libération animé par Erwan Cario. Cette bande annonce a été enregistrée le 11 décembre 2025 sur Discord. Réalisation : Erwan Cario. Générique : Marc Quatrociocchi.

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    9 m
  • L'Actu Tech (en 3 minutes) - Netflix, Warner Bros, Paramount... que se passe-t-il ?
    Dec 11 2025

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    4 m
  • Bubble - Vous ne réalisez pas à quel point votre espace vous contrôle
    Dec 11 2025

    On plonge dans un sujet qu’on sous-estime tous : le confort. Ergonomie, lumière, son, routines, design… Comment nos espaces influencent notre productivité, notre santé mentale et nos idées ? Et surtout : comment reprendre le contrôle et construire notre “bureau de rêve” dans la vraie vie.


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    1 h y 9 m
  • Choses à Savoir TECH VERTE - Comment GIEC peut-il amplifier le doute climatique ?
    Dec 10 2025

    Créé en 1988, le GIEC est devenu, au fil des décennies, la référence mondiale en matière de climat. Sa mission : rassembler, analyser et synthétiser les connaissances scientifiques sur le réchauffement climatique, ses causes et ses conséquences. En 2021, le diagnostic était sans appel : « Il est sans équivoque que l’influence humaine a réchauffé la planète. » Et pourtant, malgré ce consensus, le doute persiste dans l’opinion publique.


    Pourquoi une telle défiance ? C’est la question posée par des chercheurs de l’Université d’Essex, au Royaume-Uni. Après avoir interrogé plus de 4 000 personnes, leurs travaux, publiés dans la revue Nature Climate Change, aboutissent à une conclusion troublante : le GIEC pourrait, bien involontairement, nourrir une part du scepticisme… à cause de son vocabulaire. Sur le fond, les scientifiques sont clairs : le réchauffement est bien réel et d’origine humaine. En revanche, les projections futures comportent forcément des marges d’incertitude selon les scénarios d’émissions. Et c’est précisément là que le malentendu s’installe. Dans ses rapports, le GIEC utilise des termes précis, comme « improbable » pour désigner un événement dont la probabilité est inférieure à 33 %. Scientifiquement, c’est rigoureux. Mais dans le langage courant, ce mot est souvent associé au doute ou à la contestation. Résultat : lorsque le GIEC écrit qu’une élévation extrême du niveau de la mer est « improbable », une partie du public comprend… que les scientifiques ne sont pas d’accord entre eux.


    Les chiffres le confirment. Un sondage récent montre que 9 Français sur 10 constatent que le dérèglement climatique est en cours. Mais selon le dernier baromètre publié par l’Ademe avec OpinionWay, 33 % des Français pensent encore que les scientifiques ne sont pas tous d’accord. Certaines enquêtes montent même jusqu’à 45 % de climatoscepticisme, selon la manière dont les questions sont posées. Les chercheurs évoquent plusieurs causes : politisation de l’écologie, défense du mode de vie, peur du changement, théories complotistes. À cette liste s’ajoute désormais un facteur inattendu : la façon de présenter les probabilités. Pour la chercheuse Marie JuanChich, de l’Université d’Exeter, parler de « faible probabilité » serait plus efficace que « d’improbable ». Une nuance de mots, mais un impact réel sur la confiance. Les auteurs tiennent à le rappeler : le GIEC rend un service inestimable à la société. Mais dans un contexte de tensions politiques et de désinformation, chaque formulation compte. Car sur le climat, le message est simple, et il est pressant : il n’existe toujours… qu’une seule planète.

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    3 m