Noël en famille. Rien que ces mots peuvent suffire à faire monter la tension. Ce qui est censé rassembler réveille parfois ce qu’on croyait avoir oublié. Une phrase, une place, un silence… et ton corps se tend. Les rues s’illuminent, les vitrines s’animent, les gens sourient. Mais toi, tu te replies un peu. Tu sais que ça revient. La table, les rôles figés, les absents qu’on ne nomme pas. Les souvenirs d’avant. Et cette sensation d’être là, sans être vraiment vu.

Dans cet épisode, je t’aide à comprendre pourquoi Noël peut devenir un terrain miné. Pas parce que tu es fragile, mais parce que cette fête ravive des blessures du passé, des loyautés invisibles, une culpabilité familiale qui t’empêche d’être pleinement toi. Quand ton système nerveux s’emballe, quand tu redeviens l’enfant qui veut qu’on l’aime, ce n’est pas un caprice. C’est un mécanisme profond, inscrit dans ta mémoire émotionnelle. Ce qu’on appelle parfois l’épuisement émotionnel des fêtes.

Je t’accompagne avec une lecture thérapeutique incarnée et des repères cliniques. On parle de ces rôles de survie que tu rejoues sans le vouloir, de ces schémas familiaux douloureux qui reviennent chaque année, comme un film qu’on remettrait en boucle. On explore ce que la thérapie familiale, la théorie de l’attachement et les neurosciences nous disent de cette douleur particulière des fêtes. Je m’appuie sur les travaux de Murray Bowen, John Bowlby, Elizabeth Kensinger et Daniela Schiller pour éclairer ce qui se passe en toi, sans te pathologiser.

Et surtout, je te propose une ressource guidée à écouter dans les jours qui précèdent. Une visualisation préparatoire, pas un soin après la guerre. Un moment pour te recentrer, poser ton souffle, ouvrir un espace à l’intérieur. Une anticipation. Un appui. Une phrase que tu choisis. Un lieu que tu crées en toi. Pour ne pas y aller seul. Pour ne plus te trahir. Parce que poser ses limites, ce n’est pas fuir. C’est rester digne. Parce que se protéger, ce n’est pas rejeter. C’est réparer.

Tu n’as pas à réussir Noël. Tu n’as pas à faire semblant. Tu peux décider que cette année, tu ne sacrifieras pas ton intégrité pour préserver une façade. Ce n’est pas toi qui es trop sensible. C’est le monde qui a appris à faire taire les corps. Cette année, tu peux choisir de ne pas répéter ce qui t’abîme.

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Toutes mes ressources sont sur www.sophiebakantherapeute.com. Tu peux aussi me suivre sur Instagram @lalliancetherapeutique et Facebook @lalliancetherapeutique.

Si cet épisode t’aide, pense à lui laisser 5 étoiles et à le partager. Chaque écoute est une graine de réparation.

Références : Murray Bowen, La thérapie familiale (1979) ; John Bowlby, Attachement et perte (1969–1980) ; Elizabeth Kensinger, La mémoire émotionnelle (2009) ; Daniela Schiller, Prévenir le retour de la peur chez l’humain (2010).

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Au début, tout semble magique. Une rencontre, une intensité, une passion unique. C’est la phase d’idéalisation, le moment où tout paraît parfait. Puis, peu à peu, la mécanique de l’emprise psychologique se met en place. Les critiques commencent à s’infiltrer, les silences deviennent menaçants, la jalousie se déguise en preuve d’amour. Tu t’excuses, tu te justifies, tu te rapetisses. C’est la dévalorisation : ton identité s’efface, tes gestes les plus simples deviennent sujets à reproches.

Vient ensuite la confusion. Un jour, tu es admiré. Le lendemain, humilié. En public, tu reçois un compliment ; en privé, une attaque blessante. Tu vis dans l’attente de retrouver l’amour des débuts. Cette alternance chaud/froid crée une véritable dépendance affective. Tu crois que le problème vient de toi, mais en réalité tout est construit pour t’emprisonner.

Et puis arrive l’effondrement. Quand la peur, la fatigue et la culpabilité prennent toute la place. Quand tu n’oses plus rien dire, rien faire, par crainte de déclencher une colère ou un silence glacial. C’est ainsi que la victime perd son centre, son énergie, son sentiment d’exister.

Dans cet épisode, je t’explique ce qu’est vraiment la perversion narcissique : ce n’est pas un simple caractère difficile, ni une personnalité compliquée. C’est une organisation pathologique, une mécanique relationnelle où l’autre n’existe que comme proie.

Nous verrons aussi pourquoi il est si facile d’y tomber. Parce que la personne perverse narcissique repère avec une précision redoutable les blessures, les manques affectifs, les failles intérieures. Tu avais besoin de reconnaissance ? Elle te l’a donnée. Tu cherchais l’intensité ? Elle t’a noyé dedans. Et c’est précisément cette humanité qui est transformée en faille.

Aujourd’hui, le terme pervers narcissique circule beaucoup. Parfois trop vite posé. Il est important de rappeler qu’il ne faut pas confondre une véritable perversion narcissique avec une personnalité simplement narcissique, égoïste ou très contrôlante. La vraie perversion narcissique est une pathologie relationnelle grave, qui laisse des séquelles profondes.

Les conséquences de l’emprise narcissique ne sont pas seulement psychologiques. Elles sont traumatiques. Beaucoup de victimes présentent des symptômes proches du stress post-traumatique : hypervigilance, crises d’angoisse, perte de confiance en soi, confusion identitaire, insomnies, douleurs corporelles. Même après la rupture, les flashs, la peur ou la culpabilité peuvent persister longtemps.

Dans cet épisode, je te propose aussi un exercice guidé de visualisation. Tu pourras symboliquement couper le lien toxique, reprendre ton énergie, sentir que tu redeviens maître de toi. C’est une première étape, simple mais puissante, pour te recentrer et te reconnecter à ta lumière.

Pour aller plus loin, mon site : www.sophiebakantherapeute.com

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Références : Marie-France Hirigoyen, Le harcèlement moral – un ouvrage essentiel pour comprendre les mécanismes de l’emprise et de la domination perverse.

Si tu es en danger, appelle le 39 19, numéro d’écoute national, anonyme et gratuit, disponible 24h/24 et 7j/7.

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Dysfonction érectile, trouble érectile, perte d’érection, panne sexuelle homme, problème d’érection… Ces mots pèsent lourd. Ils résonnent avec honte et malaise. Pourtant, derrière eux, il y a une réalité plus subtile : celle d’un corps qui parle, d’une intimité fragilisée, et d’un homme qui se sent perdu face à sa sexualité.

Dans cet épisode 17 de L’Alliance Thérapeutique, je t’invite à plonger dans ce sujet tabou avec bienveillance. La perte d’érection n’est pas une fatalité. C’est un signal. Un langage intime qui mérite d’être entendu et transformé.

Tu découvriras le fonctionnement de l’érection, les formes de troubles érectiles (primaire, secondaire, situationnel, généralisé) et l’importance du bilan médical urologue pour explorer les troubles érectiles causes physiques.

Nous parlerons aussi des causes psychologiques : stress et érection, anxiété de performance sexuelle, blocage psychologique érection, croyances limitantes. Mais aussi des blessures du passé : humiliations, traumas, impact de la mémoire corporelle et sexualité. J’évoquerai les dynamiques du couple : rancunes, perte de complicité sexuelle couple, manque de sécurité affective sexualité. Sans oublier l’idéalisation de la partenaire, quand le désir se fige sous la peur de l’échec sexuel.

Au-delà des causes, j’explore les conséquences de la panne sexuelle homme : honte perte érection, culpabilité, évitement, mais aussi rejet et incompréhension du ou de la partenaire. Un trouble érectile psychologique touche toujours l’intimité du couple.

Mais il existe des solutions aux troubles érectiles : mettre des mots, ralentir, réinventer la sexualité, explorer des solutions naturelles dysfonction érectile. Et si nécessaire, recourir à la sexothérapie trouble érectile, la thérapie sexuelle homme, les TCC dysfonction érectile ou l’hypnose trouble érectile. Ces approches aident à réguler l’anxiété, apaiser la mémoire corporelle, recréer une sécurité intérieure et engager une rééducation à la sexualité.

Je te propose aussi un exercice lâcher pression sexuelle : “Et si je n’avais plus à prouver ?”. Un moment pour relâcher la peur et retrouver ton corps comme un allié. Tu pourras le refaire quand tu en ressentiras le besoin.

Cet épisode est une invitation à changer ton regard. À comprendre que ton érection qui disparaît n’est pas un bug, mais une boussole intérieure. Qu’une panne sexuelle homme n’est pas une preuve d’impuissance, mais un messager de ton état émotionnel et relationnel.

Parce qu’au fond, la sexualité sans performance est possible. La sexualité n’est pas un test à réussir. C’est une rencontre. Avec toi-même. Avec ton ou ta partenaire. Un espace de liberté, de tendresse et de transformation.

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