
Sigamary Diarra : « Je descends de quatre divisions en l'espace de deux, trois ans »
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Dans son film Le Ballon d’or, Cheik Doukouré met à l’écran l’histoire de Bandian, un garçon originaire d’un petit village de Guinée, ne vivant que pour sa passion du football. Animé par le ballon rond depuis son plus jeune âge, Bandian fait face à la réalité du monde et navigue contre vents et marées jusqu’à atteindre son but ultime : celui d’être l’un des plus grands champions.
Si le parcours de ce jeune héros est pleinement inspiré de l’histoire de Salif Keita, ce schéma ne s’est pas seulement limité au cadre cinématographique. Symbole de l’histoire du football africain, le Malien a naturellement accompagné toute une génération à travers son histoire.
Né en 1984, soit quatre ans après la retraite de Salif Keita, Sigamary Diarra en est le parfait exemple. Footballeur au parcours d’abord banal, le natif de Villepinte connaît ensuite une carrière avec son lot de difficultés, à l’instar du jeune Bandian.
En l’espace de trois ans, il connaît un changement de statut, laissant son costume d’espoir de Ligue 1 pour celui d’indésirable en National. Persévérant à l’image du héros de Cheik Doukouré, il parvient néanmoins à remonter la pente en retrouvant l’élite et occupe aujourd’hui le poste de coordinateur sportif au club de Valenciennes. En parallèle de sa carrière en club, il représente fièrement le pays de ses parents, le Mali, après s’être longtemps référé à l’histoire d’un certain Salif Keita.
Vous écoutez l’épisode 1 de la saison 2 de sportrait, un podcast produit par Anthony Phene.
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