Podcast 1 : La genèse de la Mission Odyssébus Podcast Por  arte de portada

Podcast 1 : La genèse de la Mission Odyssébus

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    Découvrez le podcast co-produit par l’ONG International Impact et la Webradio Allo la planète : Choisissez votre plateforme de podcast préférée et Abonnez-vous à la Mission Odyssébus : – sur Apple Podcast : https://podcasts.apple.com/us/podcast/la-mission-odyss%C3%A9bus/id1600010854 – sur Google Podcast : https://podcasts.google.com/feed/aHR0cHM6Ly9mZWVkcy5wb2RjYXN0aWNzLmNvbS9wb2RjYXN0aWNzL3BvZGNhc3RzL3Jzcy80NDg4XzRhZDI1M2IxMTEwYmRlZTViYmM5Nzc1YjVkYTU5NWI1LnJzcw – sur Amazon Music : https://music.amazon.fr/podcasts/55343d02-ecf6-4a20-81c1-4297281d800f/la-mission-odyss%C3%A9bus – sur Deezer : https://www.deezer.com/fr/show/3711337 – Sur Spotify : https://open.spotify.com/show/4MbhiBfSjJqS595rTZEmhN – sur Stitcher : https://www.stitcher.com/podcast/la-mission-odyssebus – sur Tuneln : https://tunein.com/podcasts/Education-Podcasts/Podcasts-Mission-Odyssebus—Odyssebus-p1675730/     Dans ce premier épisode, Astrid et Jean-Christophe Crespel expliquent la genèse du projet Odyssébus. Pourquoi l’avoir monté ? Qui a eu l’idée et quand ? Découvrez les réponses dans ce premier épisode. Retrouvez ce podcast sur le site d’Allo La Planète, sur le site d’Odyssébus.   Le Web Radio « Allô la Planète » et L’O.N.G. « International impact » vous présentent la Mission Odyssébus. Mais qu’est-ce que c’est ? De quoi s’agit-il ? C’est quoi donc ? Pardon ? Je n’ai pas compris. Dis, tu nous expliques ? Odyssébus, c’est une mission familiale dans un bus à impériale. Durant 14 mois, découvrez ses 3 volets : Solidaire, Écoresponsable et pédagogique. Retrouvez-nous sur « Allo la Planète », tous les mardis 8 :00, mercredi midi et samedi 18 :00. Premier épisode : La Genèse du projet. JC : Bonjour Astrid Astrid : Salut JC, bonjour à tous. JC : Alors dans ce premier épisode, on va décrire la genèse du projet. Est-ce que tu te souviens comment l’idée de ce projet est née ? Astrid : Oui, oui, je m’en souviens bien. Il y a 20 ans, on s’est rencontrés en Asie, à Bangkok. J’étais volontaire dans une ONG et toi, tu réalisais déjà un tour du monde humanitaire avec un ami. Et quand on a décidé de passer notre vie ensemble et de se marier, on voulait déjà repartir à l’autre bout de la planète. Notre rêve était de faire le tour de la Méditerranée en van Volkswagen. JC : Ah oui, à l’époque on n’avait pas encore nos enfants. Et puis on en a eu 1, puis 2, puis 3, puis 4 et enfin 5. Alors à 7 : impossible de partir dans un véhicule si petit. Astrid : Oui et puis la situation géopolitique ne permettait plus de faire ce tour. Les drames en Syrie, la situation chaotique en Libye. JC : Oui, il fallait qu’on trouve une autre destination. Astrid : Et puis, les enfants ont grandi, chacun avec des besoins spécifiques. Il fallait nous faire aider par des orthophonistes, des ergothérapeutes, des AVS, des psycho-motriciens. C‘est assez incompatible avec la mobilité. JC : Oui, on a repoussé l’idée, mais on gardait tout de même ça au fond de nos têtes. Astrid : Il y avait aussi le fait que j’ai créé mon entreprise de chapeaux et de bijoux et que j’ouvrais une boutique de créateurs dans la ville où on habite à Herblay-Sur-Seine. JC : Oui et moi j’avais créé l’ONG International Impact qui succédait à ce tour du monde solidaire. J’avais été directeur dans des grandes ONG puis j’avais décidé de créer une ONG pour mieux gérer les impacts sociaux, économiques et environnementaux de nombreuses petites ONG. Donc j’avais décidé de créer une ONG support qui aller les autres ONG justement à se développer. Astrid : Et puis, un jour, je regardais la télévision et j’ai vu un reportage sur une famille qui était partie en autocar. Le projet s’appelait My Tiny School (https://www.mytinyschool.com/) et je trouvais l’idée super chouette et cela m’a donné envie de repartir dans un projet familial. JC : Alors entre-temps on vivait notre propre aventure, en marchant tous les étés et en traversant la France à pied. Donc on a appelé notre projet « 7 en marchant » avec le chiffre 7 pour symboliser les 7 membres de la famille. On s’était donc tous habitués à marcher, à bivouaquer, à vivre de manière assez spartiate, assez simple finalement. Astrid : Oui alors dans un bus, c’était vraiment le confort assuré. JC : Toi, tu as eu l’idée du car et moi, je me souviens que j’ai eu l’idée du fait qu’il ait deux étages. On avait le choix : soit un car à un étage, mais du coup, il y avait de grandes soutes. Donc c’était pratique pour mettre plein de choses, soit un car à deux étages. Donc là, il y avait moins de soutes ou quasiment plus de soutes, mais on avait plus de places pour nous. Et déjà nos ainés avaient 16 ans et 14 ans et ils avaient besoin de leur espace propre, de leur intimité. Donc on a opté pour un bus à impériale. ...
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