Dans cet épisode brûlant, Manuel Amoros raconte sa Coupe du Monde dans la terre de ses ancêtres, l'Espagne. Quelles sont les relations au sein du groupe? Comment s'intègre-t-il au sein des vieux briscards de la défense, lui le nouveau venu de 20 ans?

Puis Manuel raconte les coulisses de son extraordinaire compétition: le sauvetage sur la ligne contre la Tchécoslovaquie, sans lequel le foot français serait peut-être vierge de tout titre; sa frappe sur la barre contre la RFA juste avant la fin du temps réglementaire à Séville, les montagnes russes des prolongations puis la séance fatale, fatidique, dramatique des tirs aux buts à laquelle il participe, au culot, du haut de ses 20 ans. A quoi pense-t-il lorsqu'il s'élance face à Schumacher.

Et parce que cet épisode est fabuleux, Amoros revient aussi sur le 2e coup de boule le plus célèbre du foot français, celui contre le Danemark à l'Euro 84. Que s'est-il passé? Comment l'a-t-il digéré? Et comment explique-t-il le geste grandiose de Battiston lors de la finale contre l'Espagne.

Fan de foot nostalgie, vous n'écouterez rien de meilleur cette année.

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Pour le lancement de la 3ème saison du Podcast des Légendes, nous recevons aujourd'hui le GOAT du couloir, Manuel Amoros!

Avant d’être un cadre des Bleus, un pilier de l’équipe de France des années 80 et un cauchemar pour les ailiers adverses, Manuel Amoros a connu une trajectoire aussi rapide qu’impressionnante. Dans ce premier volet, il revient avec nous sur ses premiers pas dans le couloir, ses débuts à Monaco, sa formation sans filet, sa sélection en Bleu à 19 ans — et cette précocité qui l’a fait exploser au plus haut niveau.

Fils d’immigrés espagnols, il pensait devenir maçon comme son père. Mais c’est ballon au pied qu’il s’impose, avec une maturité tactique rare, une confiance naturelle et un mental forgé dans l’adversité. Dès son premier match en pro, dès sa première sélection, tout va très vite — trop vite ? C’est la marque des grands : projeter son jeu, son envie, et sa personnalité dans chaque action.

Une immersion dans les coulisses d’une ascension hors norme, racontée par celui qui, bien avant de devenir une légende, était déjà un phénomène.

La bienveillance des anciens (les Courbis, Petit, Dalger), les soirées difficiles au Centre de Formation, les vacances passées sur les chantiers ou à apprendre la patisserie, avec des anecdotes exceptionnelles, c'est cette semaine sur le meilleur podcast de foot en France.

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Dans ce second volet passionnant, Fabrice Poullain revient sur les grands tournants de sa carrière : son départ du PSG, ses années à Monaco avec Arsène Wenger, ses blessures à répétition, et sa vision très personnelle du football. On y croise Tapie, le Président Campora, Platini, Giresse, Mark Hateley ("un roc, même à l'entraînement il fallait faire attention"), Wenger, Glenn Hoddle ("le magicien"), ses leçons d'intimidation, des matchs mythiques (et quelques polémiques…), les coups de sang de Jean-Paul Bertrand-Demanes et un match houleux au Brésil, des anecdotes incroyables sur les coulisses des années 80-90, et même… une rebouteuse en Charente !

De joueur fidèle et intelligent à coordinateur sportif de l’AS Monaco aux côtés de Didier Deschamps, en passant par une carrière dans le journalisme et aujourd’hui dans le foot féminin, Fabrice a (presque) tout fait. Homme de terrain, de vestiaire, de micro… celui que tous les entraîneurs voulaient avoir à leurs côtés pour la bataille revient, sans filtre, sur ses plus belles années.

Un épisode dense, authentique, rempli d’anecdotes savoureuses et de vérités crues. À écouter absolument si vous aimez le foot… et les vraies histoires. ⚽🔥

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Fabrice Poullain a tout vécu plus vite que les autres : lauréat du Concours du Jeune Footballeur à 14 ans, titulaire au FC Nantes à 18, champion de France à 20, capitaine du PSG à 23, de nouveau champion à Paris à 25, avant de connaître une fin de carrière prématurée à 28 ans suite à une blessure. Dans cet épisode captivant, il revient sur son parcours hors norme, celui d’un surdoué formé à la nantaise, doté d’une mentalité de gagneur et d’un sens du jeu remarquable.

Il partage les choix qui ont marqué sa trajectoire : pourquoi il a préféré le FC Nantes malgré les sollicitations de nombreux clubs, ce qu’il retient de ses entraîneurs emblématiques comme Coco Suaudeau et Gérard Houllier, et comment il a réalisé le rêve de jouer aux côtés de son idole, Henri Michel. Il évoque également la rigueur du centre de formation, l’état d’esprit de l’époque, et l’immense respect qu’il portait à ses aînés.

Fabrice revient aussi avec lucidité sur son passage en équipe de France : appelé dans une période de transition, il y a connu la difficulté d’exister dans un groupe sans cohésion, où les anciens leaders avaient disparu. Il confie n’avoir jamais réussi à s’y exprimer pleinement, et analyse sans détour ce qui lui a manqué pour s’imposer durablement chez les Bleus.

Enfin, il livre avec émotion des anecdotes inédites sur ses années au PSG, son amitié inattendue avec Luis Fernandez, ses souvenirs de titres, de vestiaires, de solidarité, et de rivalité. Une plongée authentique dans le football des années 80, à travers le regard d’un joueur élégant, intelligent, et passionné.

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Que se passe-t-il dans les vestiaires des Bleus après la défaite aux tirs au but contre l’Italie en 2006 ?

Comment les joueurs vivent-ils le coup de tête de Zidane ? Ambiance plombée, vestiaire fracturé, émotions brutes : Gaël Givet, témoin direct de cette finale, raconte sans filtre l’après-match, les tensions, les silences, l’attente du Président… et l’instant où ils découvrent enfin, à la télé, ce que personne n’avait vu sur le terrain : le coup de boule.

Dans ce deuxième épisode, Givet revient aussi sur l’ambiance au sein des Bleus pendant le Mondial, le rôle des leaders comme Thuram, Henry et Zidane, son rapport complexe à l’équipe de France (« je ne me suis jamais vraiment senti à l’aise »), et son sentiment d’être un peu à côté d’un monde trop "starifié" pour lui.

Il évoque aussi la fameuse “Givetmania” à son retour à Monaco, les sollicitations, la paternité, les moments de flottement… avant de rebondir à Marseille, puis de vivre les plus belles années de sa carrière à Blackburn, où il découvre l’intensité du foot anglais, l’ambiance de vestiaire à l’ancienne, et la vraie camaraderie.

Avec son franc-parler habituel, il parle aussi de son passage à Évian, de l’épisode de la barbe "djihadiste", de ses relations tendues avec Pascal Dupraz, et de l’hypocrisie du monde du foot. Spoiler : il ne regrette rien, mais il ne mâche pas ses mots.

Enfin, il explique pourquoi un vice-champion du monde préfère aujourd’hui regarder du rugby ou jouer au padel plutôt que de suivre un match de foot à la télé.

Honnête, drôle, rafraîchissant : Gaël Givet comme vous ne l’avez jamais entendu — partie 2, cette semaine dans le meilleur podcast de foot français.

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Une allure de mousquetaire, des tacles acérés comme des lames, du panache et un sens de l'humour aiguisé : si Gaël Givet était né quelques siècles plus tôt, nul doute qu'il aurait combattu aux côtés d'Athos, Porthos et Aramis. De ses débuts comme joueur polyvalent, à la fois buteur et défenseur, jusqu'à son arrivée sur le Rocher, Gaël dévoile tous ses secrets. Comment a-t-il été accueilli par les cadres du vestiaire monégasque ? Pourquoi ce fan de l'OM, natif d'Arles, a-t-il finalement choisi Monaco ?

Il raconte aussi les débuts difficiles d'un jeune entraîneur nommé Didier Deschamps, qui parvient pourtant à mener son équipe jusqu'en finale de la Ligue des Champions. Comment « DD » a-t-il corrigé les erreurs d'une première saison compliquée ? Comment Gaël a-t-il vécu cette période délicate, lui qui initialement n'entrait pas dans les plans du futur sélectionneur national ? Et comment explique-t-il l'incroyable épopée de l'AS Monaco durant la saison 2003-2004, en démantelant La Corogne, en éliminant les Galactiques du Real Madrid puis Chelsea, avant de s'incliner avec les honneurs face au FC Porto de José Mourinho ?

Revivez cette campagne exceptionnelle de l'intérieur, avec des anecdotes inédites, dans un épisode passionnant du meilleur podcast de foot français.

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Champion olympique avec une bande de copains menée par le regretté Henri Michel, Patrice Garande revient sur cette formidable aventure humaine qui l’a profondément marqué.

Comment ces jeunes Bleus ont-ils réussi à gravir la plus haute marche de l’Olympe ? Quel était le management d’Henri Michel, ancien maître à penser du FC Nantes et futur sélectionneur des A ? Enfin, quels souvenirs garde Garande de son périple américain ? Avec une émotion palpable et des frissons encore perceptibles dans la voix, le serial buteur partage avec intensité les moments forts d’une expérience inoubliable.

Il évoque la richesse humaine et sportive de ce groupe unique, l’alchimie qui les a portés jusqu’au sommet, ainsi que le rôle déterminant d’Henri Michel, véritable chef d’orchestre de cette épopée.

Garande revient également sur son unique sélection en Équipe de France A, un moment prestigieux mais qui, paradoxalement, n’a pas atteint l’intensité émotionnelle des Jeux olympiques. Son second passage à Saint-Étienne constitue un autre tournant de sa carrière : flamboyant aux côtés de Philippe Tibeuf, avec qui il formait le duo redoutable surnommé "Dupont et Dupont", il se heurte ensuite à un contexte plus instable et à des tensions avec Robert Herbin, précipitant son départ plus tôt que prévu.

Avec lucidité et sincérité, Patrice Garande partage les hauts et les bas d’une carrière marquée par une passion indéfectible pour le football et un profond attachement aux valeurs collectives. Un témoignage vibrant, à la hauteur de son parcours.

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Cette semaine, nous partons à la rencontre de l’attachant Patrice Garande, redoutable buteur en série. Premier contrepied: né en région lyonnaise, c'est pourtant chez les Verts de Saint-Étienne qu'il effectue sa formation. Forgé par la persévérance et l’obsession du but, il connaît une première désillusion lorsque l'ASSE ne lui offre pas de contrat professionnel. Loin de se résigner, il suit son mentor Hervé Revelli en Suisse, où il explose avant de rejoindre Orléans, puis Auxerre, où son duo avec Andrzej Szarmach le consacre co-meilleur buteur du championnat.

Comment un buteur vit-il les hauts et les bas ? Comment se construit-il une carapace face aux critiques ? Comment gère-t-il la pression du regard des autres, notamment celui du public et de ses proches ?

Avec une sincérité rare et une introspection saisissante, Patrice Garande revient sur son parcours : son enfance marquée par l’omniprésence du football, l’exigence d’un père intransigeant, les sacrifices et la pression psychologique liés à son poste d’attaquant. Il évoque également ses relations avec des entraîneurs emblématiques comme Robert Herbin, Guy Roux et Jean-Claude Suaudeau, chacun incarnant une vision du football radicalement différente.

Un épisode riche en anecdotes qui sent bon le football d’antan, porté par un artisan du but à la trajectoire hors norme.

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