
Opération Grim Beeper
Quand 4000 messages deviennent 4000 bombes
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Narrado por:
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Virtual Voice
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De:
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Michael Behagen

Este título utiliza narración de voz virtual
Operation Grim Beeper est un thriller politique haletant et profondément humain, qui se déploie entre les paysages fracturés du Moyen-Orient, de l’Europe et de l’Asie du Sud-Est. Inspiré de faits réels – notamment l’explosion de téléavertisseurs piégés au Liban en septembre 2024 – le roman tisse une toile entre espionnage à haut risque et drames intimes, explorant les ondes de choc de la violence, du deuil et de l’amour, bien au-delà des frontières et des générations.
Au cœur du récit se trouve une idée aussi simple que glaçante : un appareil de communication qui ne transmet pas seulement un message – mais la mort.
Dans une opération secrète d’une audace extrême, le Mossad développe un téléavertisseur qui explose huit secondes après réception d’un signal. Pas d’application. Pas de GPS. Pas de caméra. Juste un message. Puis, le silence. L’objectif est aussi brutal qu’efficace : décapiter la chaîne de commandement du Hezbollah de l’intérieur, créer la panique, la confusion, l’effondrement.
Mais ce roman n’est pas une histoire de technologie. C’est une histoire de personnes.
À travers une polyphonie de voix – un combattant du Hezbollah devenu aveugle, hanté par ce qu’il a perdu ; un ingénieur du Mossad dont la fille est plongée dans le coma après le massacre de Nova ; une ancienne agente installée au Vietnam, rongée par les fantômes ; une femme divisée entre nations, loyautés et identités – le livre interroge ce que signifie vivre dans un monde où la vérité est cryptée, la morale compromise, et l’amour lui-même potentiellement instrumentalisé.
Du massacre du festival Nova, le 7 octobre 2023, jusqu’aux salons moites des ambassades à Hanoï, des laboratoires souterrains d’Israël jusqu’aux cris enflammés de la banlieue sud de Beyrouth, Operation Grim Beeper entraîne le lecteur dans un labyrinthe d’accords secrets, d’ambiguïtés morales et de choix impossibles. Chaque page vibre sous la tension entre devoir et conscience, vengeance et pardon, silence et parole.
Operation Grim Beeper n’est pas un récit entre Bien et Mal. C’est un combat entre la mémoire et l’oubli, entre le silence imposé et la voix retrouvée. C’est un roman où l’intrigue politique épouse la poésie, et où les moments les plus bouleversants ne naissent pas des bombes – mais des chuchotements.
En toile de fond : Lisbonne. Athènes. Budapest. Saïgon. Tainan. Tel Aviv. Beyrouth. Chaque ville contient une partie du code. Chaque personnage détient un fragment d’un passé qu’il tente de fuir ou de retrouver.
Le roman se déploie en fragments cinématographiques : des réunions secrètes dans des salons parfumés au jasmin, des messages cryptés dissimulés dans de vieilles photos, des déclarations prononcées non avec des armes – mais avec des étreintes.
C’est un livre où un homme défiguré monte sur une colline pour rencontrer le fils de celui qu’il a voulu tuer. Où une mère cherche sa propre mère. Où un enfant murmure “Baba” dans les bras d’un inconnu.
Et quand viendront les derniers chapitres – une rencontre chuchotée sur une colline ravagée, un message glissé dans une boîte aux lettres à Saïgon, une danse silencieuse sur les cendres de Re’im – vous comprendrez que ce n’était jamais un simple thriller. C’était un requiem. Une prière. Et peut-être, un commencement.
Écrit dans une prose à la fois acérée et lyrique, avec l’âme d’un poète et l’urgence d’un rapport de terrain, Operation Grim Beeper vous plonge dans un monde terriblement proche du nôtre – un monde où nos appareils peuvent nous trahir, et où seul l’amour – dans ses formes les plus brisées, les plus inattendues – pourrait survivre à l’explosion.