Tourments Audiolibro Por Margaret Papillon arte de portada

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De: Margaret Papillon
Narrado por: Virtual Voice
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Este título utiliza narración de voz virtual

Voz Virtual es una narración generada por computadora para audiolibros..
[...] – Émile fait partie de mon destin depuis au moins une demi-douzaine d’années. J’avais 15 ans quand je l’ai rencontré. Mon père, cet insensé, était parti à nouveau avec l’une de ses jeunes nouvelles maîtresses nous laissant, ma mère et moi, dans une situation financière plus que catastrophique. Nous n’avions rien à manger, étions incapables de payer le loyer, l’électricité, l’abonnement d’eau. Mon écolage était en souffrance depuis plus de trois mois. La dèche totale, quoi ! C’est à ce moment-là que Joanne, une amie depuis les bancs de l’école primaire, qui était au courant de la situation difficile dans laquelle je baignais, me présenta à Émile. Ce dernier était l’ami de son ami Roosevelt, l’homme avec qui elle sortait elle-même pour « battre la misère de vitesse », comme elle avait l’habitude de dire… C’est ainsi que je suis devenue l’amante de cet homme aux cheveux grisonnants qui aurait pu être mon père. Crois-moi, je n’étais pas fière de moi. J’étais bêtement en train de reproduire ce que je reprochais à mon paternel. Mais, Émile nous apportait la sécurité matérielle qui nous faisait tant défaut et aussi une sécurité physique. Il était un makout, un sbire du dictateur… il portait une arme à sa taille et ce fait éloignait une certaine racaille, véritables prédateurs, de deux femmes seules, des proies faciles, dans un quartier populeux.– Émile fait partie de mon destin depuis au moins une demi-douzaine d’années. J’avais 15 ans quand je l’ai rencontré. Mon père, cet insensé, était parti à nouveau avec l’une de ses jeunes nouvelles maîtresses nous laissant, ma mère et moi, dans une situation financière plus que catastrophique. Nous n’avions rien à manger, étions incapables de payer le loyer, l’électricité, l’abonnement d’eau. Mon écolage était en souffrance depuis plus de trois mois. La dèche totale, quoi ! C’est à ce moment-là que Joanne, une amie depuis les bancs de l’école primaire, qui était au courant de la situation difficile dans laquelle je baignais, me présenta à Émile. Ce dernier était l’ami de son ami Roosevelt, l’homme avec qui elle sortait elle-même pour « battre la misère de vitesse », comme elle avait l’habitude de dire… C’est ainsi que je suis devenue l’amante de cet homme aux cheveux grisonnants qui aurait pu être mon père. Crois-moi, je n’étais pas fière de moi. J’étais bêtement en train de reproduire ce que je reprochais à mon paternel. Mais, Émile nous apportait la sécurité matérielle qui nous faisait tant défaut et aussi une sécurité physique. Il était un makout, un sbire du dictateur… il portait une arme à sa taille et ce fait éloignait une certaine racaille, véritables prédateurs, de deux femmes seules, des proies faciles, dans un quartier populeux. [...]
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