⭐ 164 lectrices conquises – “Un suspense haletant et une romance à couper le souffle.” ⭐
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Elle n’avait pas le droit de l’aimer.
Il n’avait aucune intention de la laisser partir.

Deva Landry pensait avoir échappé à son passé criminel… jusqu’au jour où on l’oblige à soigner Aleksei Voronov, combattant MMA sous l’emprise de la mafia russe.
Sous ses doigts, ses cicatrices parlent d’un homme brisé.
Sous sa peau, un désir interdit menace de tout consumer.

Dans les rues sombres de Chicago, une seule règle domine : ne jamais aimer.
Mais céder à Aleksei pourrait lui coûter bien plus que son cœur.

Onde de choc est le premier tome de la série Les Frères de sang : une romance sombre et addictive où l’amour devient l’arme la plus dangereuse de toutes.

Tropes & thèmes :
🥊 Combattant MMA / bad boy tatoué
💔 Héroïne en fuite, hantée par son passé
🔥 Romance interdite & tension explosive
🕵️ Mafia russe, trahisons et danger constant
💀 Héros torturé, sombre et vulnérable
💋 Scènes intenses, suspense haletant

Chaque tome est un standalone – pas de cliffhanger.

Plongez dès maintenant dans Onde de choc et laissez-vous happer par une passion dangereuse où chaque choix peut être fatal.

*** EXTRAIT ***

Deva ne reconnut pas la voix, mais détecta l’accent russe. Aleksei. Laissant le bâton devant la porte, au cas où, elle laissa échapper un souffle avant d’entrer dans la pièce. Le combattant russe, toujours vêtu d’un t-shirt noir ajusté et d’un pantalon de sport noir, était assis sur sa table de massage, un sourire narquois sur son magnifique visage. Ses yeux d’argent liquide dansaient avec malice. Ses bras tatoués fléchissaient lorsqu’il s’agrippait au bord de la table, attirant l’attention sur son corps.
— Bon sang, Voronov ! Pourquoi tu essaies de me faire peur ?
Et le goujat a simplement souri, levant les mains en signe de capitulation.
— Je ne voulais pas te faire peur, Deva. Mais j’avais laissé mon téléphone dans les vestiaires et je suis juste revenu le chercher.
— La porte d’entrée était verrouillée.
— Ce n’est qu’un verrou, Deva. Quelque chose qui peut être ouvert facilement par quelqu’un d’habile, tu ne crois pas ?
La façon dont il prononça son nom, s’attardant sur un profond grondement, fit monter la chaleur entre ses jambes. Deva détesta sa réaction à son égard autant qu’elle la comprenait. Parfois, le corps avait des moyens de faire connaître ses besoins avec force.
— Et ce n’est pas le vestiaire. Tu es dans mon espace personnel, assis sur ma table de travail.
— Da. Je vois que tu as d’excellents yeux. Et quand je suis revenu, et que tu étais encore là, j’ai pensé que c’était le moment idéal pour te demander un... traitement.
Deva compris et croisa les bras.
— J’ai fini mon travail et je n’offre pas les services que tu me demandes. Je suis kinésithérapeute si tu veux savoir.
Quelque chose a étincelé dans ses yeux fascinants avant que son visage ne se ferme.
— Je sais ce que tu fais ici, et je ne cherche pas une... professionnelle. Je n’ai aucun intérêt pour ça. Je n’ai jamais payé pour du s*xe.
Et Deva était convaincu que c’était vrai. Avec son corps musclé et le charisme qui l’entourait, il était impossible qu’une femme saine d’esprit lui dise non.
— Alors, de quoi as-tu besoin, Aleksei Voronov ?