Il est prêt à tout risquer pour la vengeance.
Mais peut-il sauver la seule femme qui compte ?

Lazarus “Oz” King n’a qu’une obsession : mettre fin au règne de terreur de Finch, son père.
Froid, méthodique, déterminé à frapper le coup fatal, il ne laisse aucune place à la faiblesse.
Mais quand Sasha Landry, médecin de terrain et femme de feu, entre dans sa ligne de mire, tout vacille.

Elle est brillante, intrépide, et irrésistiblement attirée par l’aîné des frères de sang.
Ce qui devait être un repos bien mérité à Chicago se transforme en lutte pour sa survie.
Et lorsque Finch la prend pour cible, Oz doit faire un choix : achever sa mission ou protéger celle qui est devenue son point faible.

Entre vengeance et amour, il n’y a plus qu’un fil.
Et dans ce combat final, le prix à payer pourrait être leur vie.

Coup fatal est le sixième et dernier tome de la série Les Frères de sang par India Kells, une saga de romantic suspense sombre, sensuelle et explosive où la rédemption s’écrit dans le sang et l’amour.

Thèmes et tropes :

• héros dominateurs et protecteurs
• les héroïnes fortes et passionnées
• les romances interdites sur fond de vengeance
• les finales intenses et pleins de danger

Découvrez Coup fatal, la conclusion déchirante d’une série où le cœur et la justice s’affrontent dans un ultime combat.

***Extrait***

Comme toujours, c’était comme recevoir un coup de poing dans le ventre. Sasha avait l’air d’avoir été emportée par le vent, ses cheveux blond doré magnifiquement emmêlés.

Cependant, c’était son corps qui lui rappelait encore mieux ce bref instant, son corps entre le sien et le mur, ses mains suivant ses courbes.

— Ce n’est pas comme si j’avais dû travailler dur pour la convaincre d’avoir la clé, surtout qu’Elizabeth voulait que je te parle.

Par expérience, il savait que sa mère se mêlait rarement de ses affaires, mais qu’elle était inquiète, ce qui signifiait que si elle ne parvenait pas à faire passer son message par la voie normale, elle trouverait un autre moyen.

— Donc tu es ici en tant que messagère. Permets-moi d’être franc. Ma mère s’inquiète pour rien. Dis-lui que je dors et mange correctement, et non, je ne travaille pas trop. Si cette information vient de toi, ma mère sera convaincue.

Quand elle croisa les bras dans ce que Lazarus considérait comme la pose typique d’un médecin, il était clair que Sasha n’était pas d’humeur accommodante.

— Pardonne-moi, mais je suis le genre de femme qui est rassurée par les faits et l’observation, et d’après ce que j’ai vu jusqu’à présent, je ne suis pas d’accord avec toi. Et je ne mentirai pas à ta mère.

Sa réponse siffla presque entre ses dents.

— Je vais bien, ce n’est pas un mensonge, bon sang !

La position de Sasha se détendit quelque peu.

— Je pense que tu veux la protéger. Tu ne mens pas carrément, mais tu évites de répondre à ses questions. Je pense que tu dors et manges en effet, mais la question est plutôt si tu manges des aliments nutritifs, si tu dors de façon profonde et réparatrice, si tu n’es pas dévoré par le stress ou l’idée de trouver ton père et l’envoyer en prison.

Lazarus tenta de se détendre et de répondre avec calme et logique.

— Remplace la prison par un cercueil, et je serai l’homme le plus heureux du monde.

La perplexité colora ses beaux traits avant de revenir à leur discussion.

— Comme tu te prépares à son meurtre, je pense que c’est le moment idéal pour te parler de quelque chose.

— Si tu es ici pour renégocier ton plan de protection, je crains que tu ne sois déçue. À moins que tu n’aies autre chose en tête.

Il espérait que non, car il ne savait pas comment parler de ce qu’il s’était passé entre eux dans sa chambre.